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Gouvernance

Née en juillet 2012, la SATT Aquitaine Science Transfert (ou Société d'Accélération du Transfert de Technologies Aquitaine Science Transfert) est financée par l'Etat français dans le cadre du Programme national des Investissements d'Avenir. Le financement de 48 millions d'euros sur 10 années (2012 – 2022) a été alloué sur la base d'évaluations triennales de l'atteinte de résultats fixés par l'Agence Nationale de la Recherche. La dernière évaluation en 2018 a permis à Aquitaine Science Transfert d'obtenir le feu vert du Premier Ministre pour le versement de la troisième tranche de 14 millions d'euros.

Qui représentons-nous ?

Le capital octroyé par l'Etat français à la SATT* Aquitaine Science Transfert est réparti entre 1 actionnaire représentant de l'Etat (Bpifrance) et 5 actionnaires académiques, établissements d'enseignement supérieur et de recherche (université de Bordeaux, CNRS, Bordeaux INP, Université de Pau et des Pays de l'Adour et INSERM). Ces 6 institutions siègent au conseil d'administration de la SATT et représentent également les intérêts de 6 autres établissements de la région.

Aquitaine Science Transfert est la filiale de valorisation de 12 établissements néo-aquitains :

  • Université de Bordeaux
  • CNRS
  • Bordeaux INP
  • Université de Pau et des Pays de l'Adour (UPPA)
  • INSERM
  • CHU de Bordeaux
  • Institut Bergonié
  • Université Bordeaux Montaigne
  • Ecole Supérieure des Technologies Industrielles Avancées (ESTIA)
  • Bordeaux Sciences Agro
  • Sciences Po Bordeaux
  • La Rochelle Université (en 2019, les actionnaires d'Aquitaine Science Transfert ont aussi donné leur accord pour que leur SATT valorise les résultats de recherche de La Rochelle Université).


* Société d'Accélération du Transfert de Technologies

Notre engagement sociétal et durable

Engagée dans le respect de l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, la SATT Aquitaine Science Transfert est en conformité avec l’index d’égalité salariale hommes/ femmes avec une note de 88/100, pour un minimum requis de 75/100.

  • L’index de l’écart des rémunération entre les femmes et les hommes, à catégories et tranches d’âge comparables  - 33/40 points ;
  • L’index de l’écart des taux d’augmentations individuelles entre les femmes et les hommes – 35/35 points ;
  • Index lié aux augmentations individuelles des salariés l’année de leur retour de congé maternité (ou d’adoption) – 15/15 points
  • Index de la représentation des femmes parmi les dix plus fortes rémunérations – 5/10 points